La Grande Pyramide nous pousse encore et toujours à nous interroger. Elle va ici nous émerveiller à nouveau d’une façon tout à fait originale.

Sa géométrie singulière et très précise que l’on retrouve dans les étoiles d’Orion et de Sirius, va se retrouver également sur la France. Par ailleurs des noms de lieux français très évocateurs vont devenir des points de liaison géométrique avec l’Egypte. La France semble jouer un rôle déterminant pour nous aider à délivrer un message, qui nous sera aussi donné à travers le décryptage « primosophique » (une guématrie basée sur les nombres premiers) de la langue française, appuyé en cela par des données d’ordre géométriques. Un tout qui ne laisse guère de place au hasard…
Peu à peu, Mathieu Laveau va ainsi nous entrainer à travers de simples constats vers ce qui paraît improbable, mais pourtant sous nos yeux. Au-delà de l’entendement se posera donc la question de la mise en place de ces astres, de ces monuments, de ces lieux « sacrés », de ces lignes virtuelles tellement précises que seuls les outils modernes nous permettent de les découvrir, et enfin du langage français actuel lui-même.

Chercheur indépendant, il rencontre en 1995 Georges Vermard, lui-même chercheur sur le sujet des pyramides. Cette rencontre décisive va peu à peu modifier toute sa vision du monde, au fur et à mesure qu’il vérifie et complète les découvertes de Georges Vermard. Après Gizeh, il poursuit ses propres recherches sur une géométrie sacrée plus ciblée sur la France qui le ramène cependant à l’Egypte. Aujourd’hui, il développe un autre aspect à travers ce qu’il nomme la « primosophie », ou « la sagesse du UN », véritable système de décodage numérique alliant nombres premiers aux lettres de notre alphabet.