UNE SCIENCE AU SERVICE DU SPIRITISME
L’IFRES
Traverser le voile qui nous sépare de ces autres mondes…
L’IFRES (L’Institut Français de Recherche et d’Expérimentation Spirite), est une association de loi 1901 dont l’objectif est d’étudier les phénomènes attribués au Spiritisme en y apportant une discipline actuelle. Les recherches qui y sont menées se basent sur une réalité existentielle non reconnue par le corps scientifique.
Existe t’il d’autres états énergétiques ou d’autres mondes imbriqués dans le notre ? De par ses travaux d’étude de TCI (Transcommunication Instrumentale), L’IFRES tend à démontrer la manifestation d’une intelligence qui persiste dans ce que nous nommons l’au-delà. Grâce à une technologie de pointe, employant des procédés d’imagerie directement issue des sciences de l’optique (Holographie, Strioscopie), ainsi qu’à des protocoles adaptés à ces axes de réflexion, l’IFRES parvient à capter les images clairement identifiées de ces « esprits ». Toutes ces expériences se conjuguent aujourd’hui et plus que jamais avec l’image et le son. À force d’étude, l’IFRES a développé un procédé audio-phonique propre à créer des voix synthétiques directement actionnées par les esprits eux mêmes.
Ces interactions intelligentes, répondant aux sollicitations de ces expériences, tendent à démontrer une réalité matérielle allant au-delà de tous les paradigmes connus (permanence du psychisme ou conscience en dehors de la forme physique). Quatre types d’expériences médiumniques menées par l’IFRES sont à l’origine de toutes les avancées techniques qui se sont déroulées au sein de l’association. Trois sont consacrées au phénomène d’écriture automatique produit par Joël et Laurie (duo médiumnique, co-fondateurs et co-présidents de l’IFRES). Une seconde est dédiée à l’exercice de la médiumnité chez tous ceux qui ressentent le besoin de s’orienter dans ce domaine d’étude. Enfin la troisième est réservée au contact d’une seule entité venant partager son témoignage de vie (c’est ainsi qu’ont été reçus “Daniel, je sais pourquoi” et “Dans l’ombre du corridor”).